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Les revêtements de sol Flowcrete

Les résines synthétiques ont été utilisées dans les revêtements de sol dès les années soixante, avec notamment les premières formulations à base d’Acrylique ou d’Époxy.

De nouvelles familles de produits PU, PU Ciment, PUMA & MMA ont été développées depuis avec de nouvelles caractéristiques, ce qui a permis d’étendre leur utilisation à d’autres contraintes d’application ou d’usage.

La présentation ci-après des différentes familles de résines développées par Flowcrete vous permet de vous faire une première idée du type de formulation le plus adapté à votre ouvrage.

Néanmoins, la prescription de la solution idéale à mettre en œuvre reste une affaire de spécialiste, un grand nombre de paramètres devant être pris en compte outre les caractéristiques de la résine, et notamment les contraintes liées au support, ou au budget. Il conviendra de faire appel à nos Chargés d’Affaires, experts de ce métier, pour vous conseiller la meilleure solution Flowcrete tant sur le plan technique que budgétaire.

En effet, le choix de la formulation la plus adaptée à un projet se fait en fonction de ces contraintes, en voici quelques exemples :

• Pour un sol de parking, on aura recours à des formulations PU en raison notamment de leur résistance à la fissuration lors des mouvements répétés des dalles support au passage des véhicules.
• Dans l’industrie agroalimentaire, on préférera un revêtement acrylique dans les zones humides, ou PU Ciment, pour résister aux contraintes chimiques, mécaniques et thermiques imposées dans ce type d’activité.
• On aura tendance à privilégier un revêtement PUMA ou MMA si le temps d’immobilisation de la zone doit être court ; par exemple on refait le sol d’un hall de gare dans la nuit et on le remet en service le lendemain matin.

La composition d'un sol en résine

Un sol en résine est constitué a minima d’une couche, mais le plus généralement de plusieurs couches successives : on parle de « système » de revêtement de sol. Et, hormis le primaire, les différentes couches constitutives d’un système sont généralement de la même famille chimique, pour permettre l’adhérence et la compatibilité des couches entre elles.

Il y a toutefois quelques exceptions. Une couche de finition  plus résistante aux UV et plus souple, à base de polyuréthane par exemple, peut être utilisée sur une couche de masse de formulation différente, comme une base époxy. L’inverse n’est toutefois pas possible, une couche rigide ne peut pas être installée sur une couche de masse souple, ce qui conduirait à des fissurations du topcoat.